Vendredi 22 mai 5 22 /05 /Mai 23:46

Cérémonie.
"Des jeunes filles (au nombre de cinq), pas plus vieilles que moi, se rapprochent de moi. Elles sont accompagnées d'un homme ayant beaucoup de classe, mais aussi dotés de bras extrêmement velus. Je n'ose pas deviner ce que ces mains larges vont faire de mon corps, le pétrir telle une pâte molle, sans même me demander mon avis ! Elles tiennent dans leurs mains des espèces de jarres, qui ressemblent fortement à ce que j’avais vu dans le sacrifice… Chic alors ! Ça va être ma fête…
Comme pour se mettre plus à l’aise, elles retirent toutes leurs toges, pour se retrouver finalement nues à mes cotés. Elles font signe au type de venir. Manifestement, elles lui ont demandé de me défaire les liens. Sitôt fait, elles m’attrapent vigoureusement, me font me lever et me retirent à mon tour mes vêtements. Nul besoin de vous dire, cher lecteur, que le garde se rince l’oeil comme un fou… Elles me font alors me rallonger sur le ventre, sur la table. J’ai un peu de mal à observer la scène dans cette position, mais je vois quant même qu’une des esclaves s’empare d’un jarre et m’en verse le contenu dessus. Je redoute un peu le contact avec le liquide qui est dedans… À tous les coups, ils ne connaissaient pas les produits de beauté à l’époque, et encore moins les critères de qualité si chers aux civilisations modernes.
Le contact me fait sursauter et je me rends compte finalement, que ce doit être une sorte d’huile parfumée, à peine chauffée, que me verse la fille sur le dos. Elle doit en mettre un bon litre car, toutes les cinq, elles entament de me le répandre d’un bout à l’autre du corps.
Ces filles ne parlent pas mais leurs gestes sont précis et méthodiques. Après quelques minutes, voilà que mon côté dos est totalement imbibé d’huile. Toutefois, elles ne se sont pas attardées longtemps sur mes fesses, comme je l’aurais tant espéré, et encore moins sur mon intimité ! Malgré tout, ce déferlement de mains sur mon corps commence sérieusement à m’exciter."
Videos à votre disposition sur demande, via Email.
Par Doc-gyneco - Publié dans : Médical
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Samedi 28 mars 6 28 /03 /Mars 22:28

Depuis le début de journée, Anne-Charlotte se sentait un peu patraque. Son état ne s’étant pas amélioré, elle décida en début d’après-midi de voir un médecin. Elle réussit à obtenir un rendez-vous à 17 heures, dans un cabinet médical tout proche.

À l’heure dite, elle fut introduite dans une salle d’attente déserte : « Tant mieux » pensa-t-elle, ayant horreur de perdre son temps à lire des magazines ineptes au sein d’une assemblée de gamins morveux et de vieillards au teint maladif se raclant bruyamment la gorge. Quelques minutes plus tard, elle entendit des bruits de portes, un homme adresser quelques paroles à un autre, puis enfin la porte s’ouvrit :

- Allons-y ! lui enjoignit le médecin entre deux âges, à l’air sérieux, en lui indiquant la direction de la main.

Elle le précéda dans la salle de consultation, rassurée par l’atmosphère de propreté et l’odeur saine qu’elle y rencontra. Ne l’eut-on pas su, on n’aurait pu deviner qu’avaient défilé ici, toute la journée, des gens malades.

- Alors ! Qu’est-ce qui vous amène mademoiselle ?

Le ton de sa voix était chaleureux et bienveillant, son air professionnel et compétent ; aussi Anne-Charlotte se détendit-elle, réconfortée par l’idée somme toute un peu naïve d’être en de bonnes mains.

Elle lui fit part de son problème. Le médecin opina plusieurs fois puis déclara :

- Bien, nous allons regarder ça. Veuillez vous déshabiller s’il vous plaît.

Elle s’exécuta, ne conservant que ses sous-vêtements blancs et ses socquettes.

Après lui avoir mesuré la tension et écouté son cœur, le médecin lui posa quelques questions supplémentaires puis, avec un sourire franc visant à la rassurer, lui annonça qu’il allait procéder à quelques examens de routine si elle le voulait bien. Elle acquiesça.

À sa légère surprise, il commença alors à palper son ventre, puis, doucement, tout en conservant cet air de concentration détachée, il remonta peu à peu jusqu’à exercer de petites pressions à la base de ses seins. Un peu inquiète, elle se demanda alors s’il recherchait une tumeur ou quelque chose de ce genre, mais elle n’osa pas lui demander confirmation. Elle préférait se laisser aller sans se poser de questions, afin d’empêcher toute angoisse superflue d’envahir son cerveau. De plus, elle remarqua avec malice combien les mains de cet homme étaient douces et qu’après tout il savait bien ce qu’il faisait et lui ferait un résumé complet de son état de santé une fois qu’il aurait terminé de l’examiner.

Il se plaça alors juste derrière elle, et avec ses deux mains, caressa en un mouvement circulaire ses deux seins partant de la périphérie pour se rapprocher du téton, les soupesa, les palpa, comme pour mesure leur parfaite symétrie. Elle rougit un peu en s’apercevant que les bouts de ses seins avaient durci, qu’allait-il penser d’elle ? Mais ma foi c’était fort agréable, et alors il brisa le silence :

- Vous me dites que vous avez mal au dos, n’est-ce pas ?

Elle hocha la tête.

- On va regarder ça, allongez vous sur le ventre !

Elle obtempéra, le bras le long du corps, le visage tourné vers la fenêtre.

Bien qu’elle n’eut que de très vagues notions de médecine, il lui sembla bien que le médecin lui prodiguait plus un massage qu’il ne l’examinait, mais peut-être après tout était-il également ostéopathe ou kinésithérapeute. Elle l’avait choisi au hasard sans vérifier toutes ses spécialités, quoiqu’il en fut, l’imposition de ces grandes mains douces sur les zones douloureuses de son dos la soulageait tant qu’elle ne put que laisser échapper un soupir de contentement puis un petit rire gai, sans que cela ne perturbe aucunement le travail du praticien.

Détendue au plus haut point, elle appréciait ces mains qui travaillaient son corps, s’attardant sur ses hanches, descendant jusque dans le creux de ses reins.

Quand les doigts de l’homme effleurèrent l’élastique de sa culotte, un frisson lui parcourut l’échine. Quelques secondes plus tard, ces mêmes doigts s’emparèrent délicatement du tissu et descendirent lentement son slip, le faisant glisser sur le haut de ses fesses, dévoilant à n’en pas douter la naissance de sa raie. Elle en fut électrisée. Du bout des doigts, il caressa la peau ainsi dénudée, appuyant doucement sur sa chair avec son pouce, laissant courir lentement son doigt à la surface de la séparation entre ses deux fesses, s’engouffrant parfois sous sa culotte, toujours un peu plus loin, jamais assez loin.

Soudainement il s’éloigna, elle l’entendit alors s’affairer, des tintements métalliques semblables à ceux que produiraient des instruments de chirurgie posés sur un plateau de dentiste lui parvinrent, elle respirait fort désormais.

À nouveau il fut là, elle sentit l’extrémité d’un objet froid lui descendre le long de la colonne vertébrale, interminablement, atteignant le bas du dos, se heurtant vite à sa culotte toujours entortillée en haut de ses fesses, plus pour longtemps ; entraînée par cet instrument chromé elle descendait irréversiblement au niveau de ses genoux, de ses chevilles, puis enfin disparut.

Elle serra les fesses et les cuisses tandis que désormais libéré de toute entrave, le mystérieux objet métallique cherchait à atteindre son intimité.

Alors les mains du médecin lui saisirent impérieusement les cuisses et les écartèrent légèrement, délicieusement proches de son sexe largement humide. Comme elle restait dans cette position, presque offerte, ce fut au tour de ses fesses de s’écarter sous l’impulsion de ces mains expertes. Sa résistance céda totalement quand le métal décrivit un cercle lent autour de son anus, elle tendit tout son corps vers l’arrière afin de sentir ce corps lisse enfin la pénétrer, mais il fallut encore patienter, gorgée de désir, jusqu’à ce qu’enfin elle sente un long cylindre métallique s’introduire dans sa chatte abondamment lubrifiée et s’adonner à de rapides mouvements de va-et-vient. Elle ne put se retenir de gémir, et explosa presque quand le thermomètre de métal qui lui titillait son petit trou s’introduisit lentement et profondément, se joignant dans un mouvement synchronisé à l’ustensile qui lui défonçait la chatte. Elle gémit de plus belle et se mit à quatre pattes, écartant largement les cuisses afin de laisser le champ libre aux divers instruments qui tour à tour, de plus en plus gros, s’emparaient de son anus dilaté et ultra-sensible, pour son plus grand plaisir. Quelques minutes de ce traitement de choc la menèrent à un orgasme fulgurant, la laissant pantelante, épuisée.

Tandis qu’elle reprenait peu à peu ses esprits, elle entendit dans une semi-inconscience, le médecin laver puis ranger ses accessoires, sans doute pour une utilisation future. Quand il eut fini, il se baissa puis s’approcha d’elle pour lui remettre avec toute la distinction et le détachement qui convenaient sa culotte. Le contact très léger de ses longues mains sur ses genoux et ses fesses la fit frissonner.

Il ne sembla pas s’en émouvoir. Puis, d’un ton parfaitement normal, il annonça :

- Hé bien ce n’est pas grand-chose, vous pouvez vous rhabiller maintenant.

Un peu déboussolée, Anne Charlotte s’exécuta. Elle écouta attentivement le médecin lui prescrire un traitement assez simple et, si elle l’envisagea, elle ne sut comment aborder dans la conversation réduite à son strict minimum ce qui venait de se produire. Il la regardait avec tout le professionnalisme requis, sans la moindre gêne, comme si rien de tout cela ne s’était produit.

Néanmoins, quand il l’accompagna à la porte et lui adressa un « Soignez-vous bien, et n’hésitez pas à revenir s’il y a la moindre complication » qu’on aurait pu croire de pure forme.
Par Doc-gyneco - Publié dans : Médical - Communauté : Doc- gyneco
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Mercredi 11 mars 3 11 /03 /Mars 22:12

  

Histoires, photos et vidéos d'accouchements disponibles sur demande, via Mail. Pour le moment, une petite histoire pour les amateurs :

« Le même jour , le 13 août 1899, à Champigny, Michel retrouvait Rosalie après plus de six mois de séparation. Toujours bienvenu chez les De Bussin, qui le traitaient comme un parent, il était au centre des attentions des trois filles, de leur mère et du patriarche. Même le gendre cocu, son ami et rival Grégoire Besace, le traitait aimablement. On le pressait de questions sur l’Egypte, on le félicitait pour son nouveau roman…Mais Michel ne quittait pas des yeux le ventre rond de Rosalie qui restait discrète et souriante.
A l’heure du café, Rosalie trouva le moyen de s’isoler avec lui dans le boudoir où elle avait reçu sa meilleure amie. Elle s’assit dans la causeuse, tandis que son amant restait debout. Michel ne put s’empêcher de lui poser très vite la question qui le taraudait depuis décembre.
• — Suis-je vraiment le père ?
• — Aucun doute, je te l’ai dit ! Pourquoi avoir disparu ainsi ?
• — J’avais besoin de prendre du recul, pour réfléchir… Et vis à vis de Grégoire, que faire, que dire…
• — Je vais te rassurer. J’ai eu une longue explication avec lui. C’est un peu difficile à comprendre, mais il avait tout prévu, tout voulu depuis le début.
• — Comment ? Que veux-tu dire ?
• — Il trouve à cette situation une jouissance très intense, un plaisir sombre et douloureux comme il dit.
• — Tu lui as raconté ?
• — Non, il préfère imaginer. Il jouit d’être cocu. Il jouit de savoir qu’on me baise…
• — On ?
• — Que tu me baises, que tu m’encules… Et que je sois enceinte de toi, c’est un summum pour lui.
• — Ce n’est pas possible…
• — C’est ainsi. Réfléchis, ça explique tout. Tu comprends pourquoi il a tout fait pour obtenir ma main ? Il savait que tu étais mon préféré. En m’épousant il était certain de réaliser son rêve de cocufiage systématique. Il voulait voir éclore l’œuf d’un autre dans son nid. Mais pas de n’importe qui, de toi. Et c’est pourquoi il reste aussi amical envers toi. Je crois qu’il aime que je l’humilie un peu, tant que cela reste entre nous.
• — J’ai du mal à y croire.
• — En voici une dernière preuve: nous devons partir en voyage aux Pays Bas cet automne, après la naissance du bébé. Grégoire m’a dit qu’il voudrait que tu viennes avec nous.
• — Il veut tenir la chandelle ?
• — Non, je ne crois pas… Peut-être écouter aux portes…
• — Tout cela est troublant, j’hésite…
• — Ah, tu n’es pas drôle ! Je t’ai connu plus cochon. Aurais-tu moins d’imagination dans la vie que dans tes romans ?
Tout en parlant, elle avait peu à peu remonté l’ample robe qui enveloppait son corps et son ventre rond du huitième mois, dévoilant qu’elle ne portait rien en dessous. Une ligne sombre marquait sa peau du pubis au nombril. D’un geste ample elle passa son vêtement par dessus sa tête et le jeta en boule sur le tapis. Ses seins avaient plus du double de leur petit volume initial. Pierre se laissa tomber à genoux et approcha ses mains hésitantes de son nombril.
• — Touche le mon amour, c’est ton enfant.
Il osait à peine l’effleurer, elle s’avança vers lui à la recherche d’un contact plus étroit. Sa légère caresse circulaire s’élargissait peu à peu vers les flancs et sous les seins qu’il osa enfin empaumer, provoquant chez elle un soupir bref mais fort, accompagné d’un tressaillement de tout le corps. Leurs bouches se retrouvèrent et il commença à se déshabiller. Rosalie n’attendait rien d’autre, mais ils butèrent vite sur l’obstacle que formait ce ventre qui les obligeait à faire l’amour à distance. Elle se laissa glisser à genoux sur le tapis et posa les coudes sur les coussins chauds, pour offrir sa croupe.
• — Viens par là, du côté de mon vice…
Pour Rosalie et son enfant le grand jour était arrivé. En prévision de ce moment elle dormait depuis quelques jours sous le toit de ses parents. Sa jeune sœur Isabelle, la perfide qui intriguait pour lui ravir Michel, s’en fut, en compagnie d’une bonne, quérir le médecin accoucheur.
En proie à des contractions douloureuses, elle découvrit que marcher dans sa chambre et sur le palier la soulageait. Par moments elle pouvait s’appuyer dos au mur en fléchissant les jambes, ou bien, dans les périodes de répit, elle retournait sur son lit. Sa mère venait régulièrement s’asseoir dans un fauteuil à son chevet et lui dispenser de bonnes paroles.
Seule un moment, elle ressentit l’envie de se caresser pour soulager la douleur diffuse qui subsistait entre les contractions. Elle ramena un édredon sur elle, pour le cas où sa mère reviendrait, puis glissa une main sous sa chemise de nuit et commença à se masturber. Le réconfort que lui apportait ce geste l’encourageait à accentuer ses caresses pour se rapprocher de l’orgasme, mais une nouvelle contraction s’annonçait. Elle se leva pour affronter l’onde de douleur qui traversait son corps, fit quelques pas jusqu’au mur pour y plaquer son dos. Soufflant longuement comme pour évacuer sa souffrance elle pensait déjà à la volupté qu’elle pourrait bientôt se donner. Elle revint sous son édredon pour s’y branler en paix. Ses seins gonflés réclamaient leur part de caresses et elle ne les laissa pas en reste. Les trois doigts glissés dans son sexe ressortaient chaque fois inondés et peu à peu elle inondait ses draps. Elle comprit qu’elle perdait les eaux petit à petit. Malheureusement, le retour des contractions lui interdisait à chaque fois d’arriver à l’orgasme. Elle rêvait d’un homme attentionné à ses côtés, de préférence le père de l’enfant, qui aurait pu continuer les caresses… A quelques occasions, avant sa grossesse, Michel lui avait introduit la main entière dans le vagin, lui procurant des orgasmes intenses, mais elle savait bien qu’aucun homme n’aurait le cran de l’assister pour cette naissance. Ils auraient trop peur de « faire mal au bébé », éternel prétexte de leur lâcheté, de leur peur de la « femme ».
Toujours à la recherche d’un orgasme qu’elle ne trouvait pas, Rosalie vit le médecin faire irruption dans la chambre, entourée d’une sage-femme, d’Isabelle et de leur mère. C’était la fin de la tranquillité, il fallait jouir tout de suite ou jamais. Abandonnant toute pudeur, elle s’agita désespérément sous son édredon et soudain se cambra dans une jouissance brève et douloureuse que les témoins compatissants prirent pour une nouvelle contraction. Elle en perdit les eaux restantes, mais on lui changea rapidement son drap. Quelques secondes plus tard, la véritable contraction s’annonçait et Rosalie voulut se lever.
• — Allons, Madame Besace, restez allongée, dit le médecin.
• — Non, docteur, je vous assure, depuis tout à l’heure je le fais et ça me soulage.
• — Je n’étais pas là, je vais m’occuper de vous maintenant.
• — Docteur, j’ai mal, je voudrais me lever s’il vous plaît.
• — Je suis médecin, madame, je sais ce qu’il vous faut. Vous allez contre toutes les prescriptions de l’Académie. Allongez vous, levez les jambes, je vais vous examiner !
• Le Diafoirus des utérus était un nabot chauve et imbu de lui-même, Marie lui céda avec un mauvais pressentiment pour la suite. Il la tritura sans douceur avant de déclarer.

• — Il est descendu, bonne présentation, restez comme cela. De l’eau chaude, des linges…
• — Docteur, je souffrais moins quand je pouvais me lever et fléchir un peu les jambes, je sentais qu’il descendait mieux.
• — Madame, vous ne voulez pas accoucher accroupie comme une négresse ! Dans une telle position, je ne pourrais plus vous ausculter, je ne suis pas contorsionniste !
Vaincue par des contractions de plus en plus fréquentes, douloureuses et inefficaces en raison de sa position allongée, Marie cessa de se battre et resta seule face à sa souffrance.
Quand Rosalie reprit ses esprits, la sage-femme lui présentait le bébé, pauvre petite chose torturée avant même d’être au monde, meurtri et endolori comme la délicate machine à jouir de sa mère.
• — C’est un beau garçon, madame.
Elle tendit les bras pour accueillir cet enfant qui lui faisait oublier toutes les avanies de cet accouchement et sans doute même tous les plaisirs interdits qui présidaient à son origine. »

Par Doc-gyneco - Publié dans : Médical
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Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 22:14

Histoires, photos et videos d'accouchements disponibles sur demande, via Mail. Pour le moment, une petite histoire pour les amateurs :

« Le même jour , le 13 août 1899, à Champigny, Michel retrouvait Rosalie après plus de six mois de séparation. Toujours bienvenu chez les De Bussin, qui le traitaient comme un parent, il était au centre des attentions des trois filles, de leur mère et du patriarche. Même le gendre cocu, son ami et rival Grégoire Besace, le traitait aimablement. On le pressait de questions sur l’Egypte, on le félicitait pour son nouveau roman…Mais Michel ne quittait pas des yeux le ventre rond de Rosalie qui restait discrète et souriante.
A l’heure du café, Rosalie trouva le moyen de s’isoler avec lui dans le boudoir où elle avait reçu sa meilleure amie. Elle s’assit dans la causeuse, tandis que son amant restait debout. Michel ne put s’empêcher de lui poser très vite la question qui le taraudait depuis décembre.
• — Suis-je vraiment le père ?
• — Aucun doute, je te l’ai dit ! Pourquoi avoir disparu ainsi ?
• — J’avais besoin de prendre du recul, pour réfléchir… Et vis à vis de Grégoire, que faire, que dire…
• — Je vais te rassurer. J’ai eu une longue explication avec lui. C’est un peu difficile à comprendre, mais il avait tout prévu, tout voulu depuis le début.
• — Comment ? Que veux-tu dire ?
• — Il trouve à cette situation une jouissance très intense, un plaisir sombre et douloureux comme il dit.
• — Tu lui as raconté ?
• — Non, il préfère imaginer. Il jouit d’être cocu. Il jouit de savoir qu’on me baise…
• — On ?
• — Que tu me baises, que tu m’encules… Et que je sois enceinte de toi, c’est un summum pour lui.
• — Ce n’est pas possible…
• — C’est ainsi. Réfléchis, ça explique tout. Tu comprends pourquoi il a tout fait pour obtenir ma main ? Il savait que tu étais mon préféré. En m’épousant il était certain de réaliser son rêve de cocufiage systématique. Il voulait voir éclore l’œuf d’un autre dans son nid. Mais pas de n’importe qui, de toi. Et c’est pourquoi il reste aussi amical envers toi. Je crois qu’il aime que je l’humilie un peu, tant que cela reste entre nous.
• — J’ai du mal à y croire.
• — En voici une dernière preuve: nous devons partir en voyage aux Pays Bas cet automne, après la naissance du bébé. Grégoire m’a dit qu’il voudrait que tu viennes avec nous.
• — Il veut tenir la chandelle ?
• — Non, je ne crois pas… Peut-être écouter aux portes…
• — Tout cela est troublant, j’hésite…
• — Ah, tu n’es pas drôle ! Je t’ai connu plus cochon. Aurais-tu moins d’imagination dans la vie que dans tes romans ?
Tout en parlant, elle avait peu à peu remonté l’ample robe qui enveloppait son corps et son ventre rond du huitième mois, dévoilant qu’elle ne portait rien en dessous. Une ligne sombre marquait sa peau du pubis au nombril. D’un geste ample elle passa son vêtement par dessus sa tête et le jeta en boule sur le tapis. Ses seins avaient plus du double de leur petit volume initial. Pierre se laissa tomber à genoux et approcha ses mains hésitantes de son nombril.
• — Touche le mon amour, c’est ton enfant.
Il osait à peine l’effleurer, elle s’avança vers lui à la recherche d’un contact plus étroit. Sa légère caresse circulaire s’élargissait peu à peu vers les flancs et sous les seins qu’il osa enfin empaumer, provoquant chez elle un soupir bref mais fort, accompagné d’un tressaillement de tout le corps. Leurs bouches se retrouvèrent et il commença à se déshabiller. Rosalie n’attendait rien d’autre, mais ils butèrent vite sur l’obstacle que formait ce ventre qui les obligeait à faire l’amour à distance. Elle se laissa glisser à genoux sur le tapis et posa les coudes sur les coussins chauds, pour offrir sa croupe.
• — Viens par là, du côté de mon vice…
Pour Rosalie et son enfant le grand jour était arrivé. En prévision de ce moment elle dormait depuis quelques jours sous le toit de ses parents. Sa jeune sœur Isabelle, la perfide qui intriguait pour lui ravir Michel, s’en fut, en compagnie d’une bonne, quérir le médecin accoucheur.
En proie à des contractions douloureuses, elle découvrit que marcher dans sa chambre et sur le palier la soulageait. Par moments elle pouvait s’appuyer dos au mur en fléchissant les jambes, ou bien, dans les périodes de répit, elle retournait sur son lit. Sa mère venait régulièrement s’asseoir dans un fauteuil à son chevet et lui dispenser de bonnes paroles.
Seule un moment, elle ressentit l’envie de se caresser pour soulager la douleur diffuse qui subsistait entre les contractions. Elle ramena un édredon sur elle, pour le cas où sa mère reviendrait, puis glissa une main sous sa chemise de nuit et commença à se masturber. Le réconfort que lui apportait ce geste l’encourageait à accentuer ses caresses pour se rapprocher de l’orgasme, mais une nouvelle contraction s’annonçait. Elle se leva pour affronter l’onde de douleur qui traversait son corps, fit quelques pas jusqu’au mur pour y plaquer son dos. Soufflant longuement comme pour évacuer sa souffrance elle pensait déjà à la volupté qu’elle pourrait bientôt se donner. Elle revint sous son édredon pour s’y branler en paix. Ses seins gonflés réclamaient leur part de caresses et elle ne les laissa pas en reste. Les trois doigts glissés dans son sexe ressortaient chaque fois inondés et peu à peu elle inondait ses draps. Elle comprit qu’elle perdait les eaux petit à petit. Malheureusement, le retour des contractions lui interdisait à chaque fois d’arriver à l’orgasme. Elle rêvait d’un homme attentionné à ses côtés, de préférence le père de l’enfant, qui aurait pu continuer les caresses… A quelques occasions, avant sa grossesse, Michel lui avait introduit la main entière dans le vagin, lui procurant des orgasmes intenses, mais elle savait bien qu’aucun homme n’aurait le cran de l’assister pour cette naissance. Ils auraient trop peur de « faire mal au bébé », éternel prétexte de leur lâcheté, de leur peur de la « femme ».
Toujours à la recherche d’un orgasme qu’elle ne trouvait pas, Rosalie vit le médecin faire irruption dans la chambre, entourée d’une sage-femme, d’Isabelle et de leur mère. C’était la fin de la tranquillité, il fallait jouir tout de suite ou jamais. Abandonnant toute pudeur, elle s’agita désespérément sous son édredon et soudain se cambra dans une jouissance brève et douloureuse que les témoins compatissants prirent pour une nouvelle contraction. Elle en perdit les eaux restantes, mais on lui changea rapidement son drap. Quelques secondes plus tard, la véritable contraction s’annonçait et Rosalie voulut se lever.
• — Allons, Madame Besace, restez allongée, dit le médecin.
• — Non, docteur, je vous assure, depuis tout à l’heure je le fais et ça me soulage.
• — Je n’étais pas là, je vais m’occuper de vous maintenant.
• — Docteur, j’ai mal, je voudrais me lever s’il vous plaît.
• — Je suis médecin, madame, je sais ce qu’il vous faut. Vous allez contre toutes les prescriptions de l’Académie. Allongez vous, levez les jambes, je vais vous examiner !
• Le Diafoirus des utérus était un nabot chauve et imbu de lui-même, Marie lui céda avec un mauvais pressentiment pour la suite. Il la tritura sans douceur avant de déclarer.

• — Il est descendu, bonne présentation, restez comme cela. De l’eau chaude, des linges…
• — Docteur, je souffrais moins quand je pouvais me lever et fléchir un peu les jambes, je sentais qu’il descendait mieux.
• — Madame, vous ne voulez pas accoucher accroupie comme une négresse ! Dans une telle position, je ne pourrais plus vous ausculter, je ne suis pas contorsionniste !
Vaincue par des contractions de plus en plus fréquentes, douloureuses et inefficaces en raison de sa position allongée, Marie cessa de se battre et resta seule face à sa souffrance.
Quand Rosalie reprit ses esprits, la sage-femme lui présentait le bébé, pauvre petite chose torturée avant même d’être au monde, meurtri et endolori comme la délicate machine à jouir de sa mère.
• — C’est un beau garçon, madame.
Elle tendit les bras pour accueillir cet enfant qui lui faisait oublier toutes les avanies de cet accouchement douloureux et même tous les plaisirs licencieux à l’origine de cette grossesse. »

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Vendredi 20 février 5 20 /02 /Fév 13:55

   Hygiène intime. Videos gynécologiques sur demande.
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