Il a bien du souci notre docteur, avec toutes ses malades !
Il a bien du souci notre docteur, avec toutes ses malades !
Hier, Karine se faisait soigner à domicile. Aujourd'hui, c'est Nadia, mais son médecin est un peu expéditif ! Qu'en pensez-vous ?
Trop épuisée pour se rendre au cabinet médical, Karine fait venir le médecin chez elle. L'examen n'en sera pas moins approfondi.
Je me suis inscrite l'année dernière à l'université au Pays-Bas. J'avais alors 19 ans. Comme tous les étudiantes de première année, j'ai du subir un examen médical préventif.
Le centre médical était situé en dehors du campus, et un groupe d'étudiants étaient convoqué chaque matin, dans le premier mois qui suivait la rentrée. L'assistante appela mon nom et me demanda de la suivre dans une petite pièce sombre et froide. Mon regard se dirigea immédiatement vers la table d'examen noire et les différents équipements qui l'entouraient. L'assistante me dit que je devais me déshabiller, puis enfiler la veste qu'elle me donna et attendre sur la table. Comme il s'agissait de mon premier examen universitaire, je ne savais pas vraiment quels vêtements conserver ; de plus, l' assistante ne m'avait donné aucune explication. Je décidais donc de garder mes sous-vêtements. Alors que je retirais mon jean, mes yeux découvrirent les deux supports en métal à l'extrémité de la table d'examen. Ils me rendirent nerveuses, et je ne préférais pas penser à quoi ils servaient... j'ouvris l'emballage. La veste était en papier : elle avaient les manches courtes et était ouverte devant. Je l'enfilais et essayait de me dissimuler au maximum avec. Une fois déshabillée, vêtue de la veste en papier, assise sur la table, j' attendais avec anxiété.
L'assistante revint dans la pièce, me pesa et me mesura. Elle me fit ensuite un examen de la vue et de l'audition au moyen de différents appareils posés sur une table puis me pris la tension artérielle et me dit que je devais aussi quitter mes sous-vêtements. Comme elle restait dans la pièce, je retirai mon slip et mon soutien-gorge sans ôter ma veste. Je voulais dissimuler mon corps au maximum.
L'assistante me tendis ensuite un récipient en verre, et me demanda un échantillon d'urine. Je regardais autour de moi, mais il n'y avait ni porte, ni endroit où s'isoler. Je demandais où aller à l'assistante, mais elle me répondit sèchement que je devais uriner devant elle. Je m'accroupis et plaça le récipient entre me jambes. Heureusement, la veste cachait l'essentiel, mais j'avais du mal à me relaxer et à uriner dans cette situation. L'assistante semblait s'impatienter, mais je sentis bientôt couler un filet d'urine. Je m'arrêtai rapidement, de peur que le récipient déborde, car je ne pouvais pas le voir entre mes cuisses, et rendis le récipient à moitié plein à l'assistance, qui quitta la pièce avec.
Quelques minutes plus tard, le docteur entra dans la pièce. Il me demanda de m'asseoir sur la table. Je m'exécutais immédiatement, en veillant à ce que ma veste ne s'ouvre pas ou ne tombe pas. Il m'examina les oreilles et le nez avec un instrument pour regarder à l'intérieur, puis me demanda d'ouvrir la bouche. Il palpa l'intérieur avec une spatule en métal, jusqu'au fond de ma gorge. C'était désagréable, et je me mis à tousser.
Puis par l'ouverture de la veste, le médecin m'ausculta avec son stéthoscope, et je dus retirer la haut de la veste, tout en restant
assise sur la table. Le docteur m'ausculta dans le dos, me palpa le cou puis testa mes réflexes en frappant mes bras et mes jambes avec une sorte de marteau. Il me demanda de tourner la tête,
puis commença à m'examiner les seins. Alors qu'il continuait de me palper les seins, j'étais de plus en plus inquiète à l'idée de la suite de l’examen.
Une fois l'examen des seins terminé, il me palpa sous les bras et me demanda de m'allonger. La veste dissimulais à peine mon pubis et
le haut de mes cuisses. Il me palpa à nouveau les seins et sous les bras, puis descendit vers l'abdomen et le bas-ventre. Il me palpait superficiellement et parfois plus profondément. Soudain, il
me pressa fortement ce qui devait être la base de la vessie et je ressentis une vive sensation dans tout l'abdomen et sursauta sur la table. Le médecin me dit juste que j'avais de bon réflexes
urinaires, ou quelque chose comme ça. J'avais de plus en plus hâte que tout se termine, mais il me demanda bientôt lever mes cuisses et de glisser jusqu'à l'extrémité de la table. Je dus alors
placer mes pieds dans les supports métalliques. J'étais plutôt contente d'avoir garder mes chaussettes, car ils étaient plutôt froids. Il appela alors l'assistante.
Elle revint avec des gants en latex qu'elle donna au médecin. Il avait placé une lampe sur se tête, accrochée au moyen d'une sorte de bande. Le médecin s'assit sur un tabouret à l'extrémité de la
table. Sans même m'avertir, il souleva la veste et commença a palper ma vulve avec ses doigts, puis les introduisit dans mon vagin. J'essayais de bouger ma tête et mes yeux pour regarder ce qu'il
faisait. L'examen était pénible et je me demandais quelles en étaient les raisons. Je ne l'avais pas vu, mais je ressenti bientôt l'instrument métallique qu'il m'introduisait dans le vagin. Je
sursautais et mes cuisses tressaillirent tellement l'instrument était froid ; j'avais l'impression d'être allongée sur un sol gelé... il avait enfoncé le spéculum très profondément dans mon
vagin. Il le retira, puis me demanda d'enlever mes pieds des étriers et de me mettre sur la table, sur les genoux et les mains, avec mes pieds de son côté.
Lorsque je me retournai, la veste en papier tomba. Mes fesses étaient maintenant à sa hauteur, et j'étais nue, à quatre pattes. Cette position était vraiment humiliante. Avec un main, le médecin
m'écarta les fesses, et avec l'autre main, il appliqua un gel sur mon anus. Je ressentis bientôt son doigt pénétrer dans mon anus. Bientôt, il introduit un deuxième doigt dans mon vagin, et il
déplaça ses doigts dans mon bas ventre, alors que l'assistante me regardais en souriant. J'avais vraiment hâte d'en finir.
Après cet examen, je m'assis à nouveau sur la table. Je n'avais toujours pas ma veste, et croisa mes bras sur mes seins, en attendant que la médecin me demande quelque chose. Il ne me dit que je pouvais me rhabiller. Je ne vous dis pas à quelle vitesse je retournai vers mes vêtements, me rhabillai pour quitter cette pièce le plus vite possible.
Je ne pensais pas qu'un examen préventif universitaire puisse être aussi désagréable, tout au moins dans un autre pays
européen.
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