Samedi 28 mars 6 28 /03 /Mars 22:28

Depuis le début de journée, Anne-Charlotte se sentait un peu patraque. Son état ne s’étant pas amélioré, elle décida en début d’après-midi de voir un médecin. Elle réussit à obtenir un rendez-vous à 17 heures, dans un cabinet médical tout proche.

À l’heure dite, elle fut introduite dans une salle d’attente déserte : « Tant mieux » pensa-t-elle, ayant horreur de perdre son temps à lire des magazines ineptes au sein d’une assemblée de gamins morveux et de vieillards au teint maladif se raclant bruyamment la gorge. Quelques minutes plus tard, elle entendit des bruits de portes, un homme adresser quelques paroles à un autre, puis enfin la porte s’ouvrit :

- Allons-y ! lui enjoignit le médecin entre deux âges, à l’air sérieux, en lui indiquant la direction de la main.

Elle le précéda dans la salle de consultation, rassurée par l’atmosphère de propreté et l’odeur saine qu’elle y rencontra. Ne l’eut-on pas su, on n’aurait pu deviner qu’avaient défilé ici, toute la journée, des gens malades.

- Alors ! Qu’est-ce qui vous amène mademoiselle ?

Le ton de sa voix était chaleureux et bienveillant, son air professionnel et compétent ; aussi Anne-Charlotte se détendit-elle, réconfortée par l’idée somme toute un peu naïve d’être en de bonnes mains.

Elle lui fit part de son problème. Le médecin opina plusieurs fois puis déclara :

- Bien, nous allons regarder ça. Veuillez vous déshabiller s’il vous plaît.

Elle s’exécuta, ne conservant que ses sous-vêtements blancs et ses socquettes.

Après lui avoir mesuré la tension et écouté son cœur, le médecin lui posa quelques questions supplémentaires puis, avec un sourire franc visant à la rassurer, lui annonça qu’il allait procéder à quelques examens de routine si elle le voulait bien. Elle acquiesça.

À sa légère surprise, il commença alors à palper son ventre, puis, doucement, tout en conservant cet air de concentration détachée, il remonta peu à peu jusqu’à exercer de petites pressions à la base de ses seins. Un peu inquiète, elle se demanda alors s’il recherchait une tumeur ou quelque chose de ce genre, mais elle n’osa pas lui demander confirmation. Elle préférait se laisser aller sans se poser de questions, afin d’empêcher toute angoisse superflue d’envahir son cerveau. De plus, elle remarqua avec malice combien les mains de cet homme étaient douces et qu’après tout il savait bien ce qu’il faisait et lui ferait un résumé complet de son état de santé une fois qu’il aurait terminé de l’examiner.

Il se plaça alors juste derrière elle, et avec ses deux mains, caressa en un mouvement circulaire ses deux seins partant de la périphérie pour se rapprocher du téton, les soupesa, les palpa, comme pour mesure leur parfaite symétrie. Elle rougit un peu en s’apercevant que les bouts de ses seins avaient durci, qu’allait-il penser d’elle ? Mais ma foi c’était fort agréable, et alors il brisa le silence :

- Vous me dites que vous avez mal au dos, n’est-ce pas ?

Elle hocha la tête.

- On va regarder ça, allongez vous sur le ventre !

Elle obtempéra, le bras le long du corps, le visage tourné vers la fenêtre.

Bien qu’elle n’eut que de très vagues notions de médecine, il lui sembla bien que le médecin lui prodiguait plus un massage qu’il ne l’examinait, mais peut-être après tout était-il également ostéopathe ou kinésithérapeute. Elle l’avait choisi au hasard sans vérifier toutes ses spécialités, quoiqu’il en fut, l’imposition de ces grandes mains douces sur les zones douloureuses de son dos la soulageait tant qu’elle ne put que laisser échapper un soupir de contentement puis un petit rire gai, sans que cela ne perturbe aucunement le travail du praticien.

Détendue au plus haut point, elle appréciait ces mains qui travaillaient son corps, s’attardant sur ses hanches, descendant jusque dans le creux de ses reins.

Quand les doigts de l’homme effleurèrent l’élastique de sa culotte, un frisson lui parcourut l’échine. Quelques secondes plus tard, ces mêmes doigts s’emparèrent délicatement du tissu et descendirent lentement son slip, le faisant glisser sur le haut de ses fesses, dévoilant à n’en pas douter la naissance de sa raie. Elle en fut électrisée. Du bout des doigts, il caressa la peau ainsi dénudée, appuyant doucement sur sa chair avec son pouce, laissant courir lentement son doigt à la surface de la séparation entre ses deux fesses, s’engouffrant parfois sous sa culotte, toujours un peu plus loin, jamais assez loin.

Soudainement il s’éloigna, elle l’entendit alors s’affairer, des tintements métalliques semblables à ceux que produiraient des instruments de chirurgie posés sur un plateau de dentiste lui parvinrent, elle respirait fort désormais.

À nouveau il fut là, elle sentit l’extrémité d’un objet froid lui descendre le long de la colonne vertébrale, interminablement, atteignant le bas du dos, se heurtant vite à sa culotte toujours entortillée en haut de ses fesses, plus pour longtemps ; entraînée par cet instrument chromé elle descendait irréversiblement au niveau de ses genoux, de ses chevilles, puis enfin disparut.

Elle serra les fesses et les cuisses tandis que désormais libéré de toute entrave, le mystérieux objet métallique cherchait à atteindre son intimité.

Alors les mains du médecin lui saisirent impérieusement les cuisses et les écartèrent légèrement, délicieusement proches de son sexe largement humide. Comme elle restait dans cette position, presque offerte, ce fut au tour de ses fesses de s’écarter sous l’impulsion de ces mains expertes. Sa résistance céda totalement quand le métal décrivit un cercle lent autour de son anus, elle tendit tout son corps vers l’arrière afin de sentir ce corps lisse enfin la pénétrer, mais il fallut encore patienter, gorgée de désir, jusqu’à ce qu’enfin elle sente un long cylindre métallique s’introduire dans sa chatte abondamment lubrifiée et s’adonner à de rapides mouvements de va-et-vient. Elle ne put se retenir de gémir, et explosa presque quand le thermomètre de métal qui lui titillait son petit trou s’introduisit lentement et profondément, se joignant dans un mouvement synchronisé à l’ustensile qui lui défonçait la chatte. Elle gémit de plus belle et se mit à quatre pattes, écartant largement les cuisses afin de laisser le champ libre aux divers instruments qui tour à tour, de plus en plus gros, s’emparaient de son anus dilaté et ultra-sensible, pour son plus grand plaisir. Quelques minutes de ce traitement de choc la menèrent à un orgasme fulgurant, la laissant pantelante, épuisée.

Tandis qu’elle reprenait peu à peu ses esprits, elle entendit dans une semi-inconscience, le médecin laver puis ranger ses accessoires, sans doute pour une utilisation future. Quand il eut fini, il se baissa puis s’approcha d’elle pour lui remettre avec toute la distinction et le détachement qui convenaient sa culotte. Le contact très léger de ses longues mains sur ses genoux et ses fesses la fit frissonner.

Il ne sembla pas s’en émouvoir. Puis, d’un ton parfaitement normal, il annonça :

- Hé bien ce n’est pas grand-chose, vous pouvez vous rhabiller maintenant.

Un peu déboussolée, Anne Charlotte s’exécuta. Elle écouta attentivement le médecin lui prescrire un traitement assez simple et, si elle l’envisagea, elle ne sut comment aborder dans la conversation réduite à son strict minimum ce qui venait de se produire. Il la regardait avec tout le professionnalisme requis, sans la moindre gêne, comme si rien de tout cela ne s’était produit.

Néanmoins, quand il l’accompagna à la porte et lui adressa un « Soignez-vous bien, et n’hésitez pas à revenir s’il y a la moindre complication » qu’on aurait pu croire de pure forme.
Par Doc-gyneco - Publié dans : Médical - Communauté : Doc- gyneco
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